La chapelle est l’œuvre de Bernard Lorjou dans les années 70.
Elle sera le lien entre les bâtiments de la maison de retraite, disposés en L. Mais pourquoi cette chapelle ?
Bernard Lorjou est un enfant recueilli par des prêtres qui ont toujours été là pour lui.
Lorsqu’il a appris la création de la maison de retraite, il est allé voir Monseigneur Goupy et lui a annoncé : « Je veux que les vieux prêtres aient une retraite heureuse. Cette chapelle sera leur lieu de recueillement.»
Il voulait que la considération et le soutien que les prêtres lui ont apporté soient reconnus.
Bernard Lorjou et sa femme Yvonne Mottet ont aussi offert les peintures et le vitrail qui ornent les murs.
Monseigneur Philippe Verrier présente les peintures des trois niveaux, toiles qui illustrent sept des paraboles de l’Évangile. « Ainsi qu’une toile du Christ et un vitrail», ajoute-t-il. Et le voici lancé à raconter différentes anecdotes sur ce Christ. Une première version d’un Christ souffrant qui a choqué les prêtres a été remplacée par l’actuel Christ d’Or. Les peintures réalisées sur toile ont été marouflées directement sur les murs de la chapelle. Le clou de la visite, le vitrail, se découvre au 2e étage. Le sujet annoncé par Lorjou était « Vierge à l’enfant avec une colombe ». En fait, la colombe est un coq, l’enfant, le peintre lui-même et la vierge, sa femme décédée à l’époque de la création de l’œuvre. Un autoportrait sûrement. A découvrir.
Fabrice
La chapelle est l’œuvre de Bernard Lorjou dans les années 70.
Elle sera le lien entre les bâtiments de la maison de retraite, disposés en L. Mais pourquoi cette chapelle ?
Bernard Lorjou est un enfant recueilli par des prêtres qui ont toujours été là pour lui.
Lorsqu’il a appris la création de la maison de retraite, il est allé voir Monseigneur Goupy et lui a annoncé : « Je veux que les vieux prêtres aient une retraite heureuse. Cette chapelle sera leur lieu de recueillement.»
Il voulait que la considération et le soutien que les prêtres lui ont apporté soient reconnus.
Bernard Lorjou et sa femme Yvonne Mottet ont aussi offert les peintures et le vitrail qui ornent les murs.
Monseigneur Philippe Verrier présente les peintures des trois niveaux, toiles qui illustrent sept des paraboles de l’Évangile. « Ainsi qu’une toile du Christ et un vitrail», ajoute-t-il. Et le voici lancé à raconter différentes anecdotes sur ce Christ. Une première version d’un Christ souffrant qui a choqué les prêtres a été remplacée par l’actuel Christ d’Or. Les peintures réalisées sur toile ont été marouflées directement sur les murs de la chapelle. Le clou de la visite, le vitrail, se découvre au 2e étage. Le sujet annoncé par Lorjou était « Vierge à l’enfant avec une colombe ». En fait, la colombe est un coq, l’enfant, le peintre lui-même et la vierge, sa femme décédée à l’époque de la création de l’œuvre. Un autoportrait sûrement. A découvrir.